La FHF rappelle également que l’augmentation des primes d’assurance souvent avancée pour justifier ce mouvement n’a jusqu’à présent pas amputé les revenus des professionnels, et qu’elle doit être maîtrisée dans le cadre d’une véritable démarche de gestion des risques et d’encouragement à la qualité, car elle affecte l’ensemble des acteurs, publics et privés, de la chirurgie et de l’obstétrique. La FHF souligne qu’aucun hôpital n’a jamais tiré prétexte de ses problèmes pour se décharger de ses devoirs d’accueil du public.
La FHF s’étonne du silence des représentants de l’hospitalisation privée, employeurs de fait des praticiens grévistes, prompts à mettre en avant leur rôle de service public, et dont on pourrait attendre qu’ils rappellent aux intéressés leurs obligations déontologiques.