Accueillies pendant 10 jours et 10 nuits au CHRU de Montpellier, les équipes de tournage ont installé 60 caméras au sein de l’unité et accompagné les sorties du SAMU pour saisir 24h/24 l’envers du décor et la diversité des situations vécues.
« Ce dispositif innovant et exigeant saisit sans artifice et sans concession tous les moments de doute, de stress, de lassitude, d’émotion et de joie. » explique Pascal Pinning, directeur des magazines de TF1. Une manière originale de promouvoir à grande échelle le travail des médecins urgentistes, infirmiers, aides-soignants, ambulanciers... Des professionnels dévoués et passionnés par un métier qui ne laisse aucun répit, où chaque seconde compte.
Les épisodes suivent l’histoire des patients et de leurs proches. Dans la mesure du possible, leur parcours est montré dans son intégralité, c’est-à-dire de l’arrivée au service jusqu’à leur sortie du CHRU.
Interrogé sur les raisons qui ont motivé l’ouverture des portes à une société de production, le Pr Jean-Jacques Eledjam avance son désir de valoriser un service-vitrine de l’hôpital, en mettant en avant ses acteurs, ceux qui s’impliquent tous les jours pour les autres. « 24H aux Urgences poursuivait exactement cette même volonté. Lorsque l’on nous a proposé d’avoir un regard extérieur, sans sensiblerie et attaché au personnel des Urgences, je n’ai pas hésité. Nous avons eu affaire à de véritables professionnels. Aujourd’hui, je leur suis infiniment reconnaissant, car ils vont montrer la réalité. »
Avant le tournage, une équipe de Shine France s’était immergée pendant plus de trois mois au CHRU, un investissement qui a permis de créer des liens de confiance, indispensables pour saisir l’humanité d’un métier au service de la vie. Les prises de vues ont été réalisées dans le respect des règles déontologiques et du droit à l’image.
*extrait de l’édito de Pascal Pinning, directeur des magazines publié dans le dossier de presse de lancement de la série
Source : Reseau CHU