La RSE vue par les consommateurs (10 pays)

Date de publication : 5 Mars 2012
Date de modification : 5 Mars 2012

Sur le plan mondial (États-Unis, Canada, Brésil, Royaume-Uni, Allemagne, France, Russie, Chine, Japon et Inde) :

  • 31 % des consommateurs attendent des entreprises qu’elles changent leur manière de travailler pour être plus en phase avec les enjeux sociaux et environnementaux. Seulement 6 % estiment que le rôle d’une Entreprise est de faire exclusivement de l’argent ;
  • entre 87 et 96 % des sondés pensent qu’il est important voire très important pour une entreprise de jouer un rôle sur des problèmes tels que le développement économique, l’environnement, l’eau, les droits humains, la santé, l’éducation ou encore la pauvreté et la faim dans le monde ;
  • le respect des droits humains par une entreprise est le facteur le plus influençant sur la confiance des consommateurs, suivi par son rôle sur la pauvreté et l’éducation.

Les consommateurs souhaitent aussi s’engager dans leur acte d’achat.

Le document s’attache majoritairement aux intentions de consommateurs, qui permettent de soulever des tendances mais viennent souvent en contradiction avec les comportements réels ; néanmoins, sur les douze derniers mois, les consommateurs ont agi concrètement dans leurs actes d’achat :

  • 76 % ont acheté un produit avec un bénéfice environnemental ;
  • 65 % ont acheté un produit ou service associé à une cause ;
  • 56 % ont boycotté une entreprise après avoir appris qu’elle n’avait pas été responsable ;
  • 51 % ont parlé des efforts en RSE d’une entreprise à leurs amis ou leur famille ;
  • 36 % ont recherché de l’information sur la responsabilité d’une entreprise ;
  • 32 % ont fait un retour à une entreprise à propos de ses efforts en RSE.

Concernant les consommateurs français, seulement 39 % d’entre eux croient que les informations divulguées par les entreprises sur les plans sociaux ou environnementaux sont vraies. Ils sont aussi divisés : 13 % estiment que le rôle d’une entreprise est de faire seulement de l’argent (contre 6 % au niveau mondial) alors que, pour 38 % (31 % mondialement), l’entreprise doit changer sa manière de travailler pour être plus en phase avec les enjeux sociaux et environnementaux).

Lire l’article complet et accéder aux résultats de l’étude sur eenovation.com

Retourner en haut de la page