Ils rappellent les sept propositions fondamentales transmises pour la préparation de ce rendez-vous important auquel ils apportent leur contribution d'expert et d'acteur conseil auprès des entreprises et des collectivités : 1. Définir une politique publique de RSE et l'européaniser 2. Faire de la RSE un sujet de la négociation internationale sur la régulation des échanges 3. Soutenir une plateforme nationale de dialogue parties-prenantes sur la RSE 4. Installer un dispositif de coordination administrative de l'action publique RSE 5. Engager l’État dans une RSE exemplaire pour ce qui le concerne 6. Soutenir l'encouragement au reporting des entreprises en RSE et son internationalisation 7. Proposer un chantier d'étude et d'expérimentation sur un dispositif d'encouragement des entreprises engagées, préalable à la mise en place de fiscalités et de normes. Lire l'appel et les 7 propositions des membres fondateurs de l'ADD Les acteurs conseils de la filière RSE française tiennent à souligner le caractère stratégique de la RSE comme méthode de reconstruction d'un pacte social, productif et écologique indispensable au redressement français, impulsé par les pouvoirs publics et attendu par les français. Depuis la loi Grenelle 2, la France dispose d'avancées réglementaires qu'il convient de conforter et dont il faut à la fois favoriser l'application et améliorer la pertinence, dans le cadre d'un dialogue continu entre tous les acteurs concernés. Les professionnels du conseil s'engagent à y apporter leur expérience et leur éclairage constructif dans le cadre d'une plate-forme nationale qu'ils appellent de leurs vœux.Pour en savoir plus, lire l'article de Patrick d'Humières, président de l'Institut RSE, sur latribune.fr
Date de publication : 13 Septembre 2012
Date de modification : 13 Septembre 2012